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Prairie Swine Centre is an affiliate of the University of Saskatchewan


Prairie Swine Centre is grateful for the assistance of the George Morris Centre in developing the economics portion of Pork Insight.

Financial support for the Enterprise Model Project and Pork Insight has been provided by:



Author(s): A.D. Beaulieu, K.A. Ross, D. Gillis et J.F. Patience
Publication Date: January 1, 2006
Reference: Prairie Swine Research Report 2006
Country: Canada

Summary:

Ajouter 500 FTU/kg d’enzyme phytase à une ration d’orge, de maïs et de tourteau de soya (SBM) a amélioré la performance des porcelets, peu importe le contenu d’énergie de la ration. La croissance des porcelets nourris avec des rations faibles en énergie et déficientes en P disponible était égale à celle d’une ration élevée en énergie avec suffisamment de aP. Introduction – Approximativement 60 à 80% du phosphore dans les céréales et les oléagineux est attaché à la phytate et n’est pas disponible aux monogastriques, incluant les porcs. Supplémenter les rations porcines avec de l’enzyme phytase améliore la disponibilité du P et la retenue de celui-ci (ie. Prairie Swine Centre Inc., Annual Research Report, 2004). La molécule de phytate a un effet sur d’autres minéraux, protéines et amidon, cependant la recherche étudiant l’effet de l’enzyme phytase sur l’utilisation de ces nutriments a démontré des réponses inconsistantes et les conclusions laissent à désirer. La phytase, une protéine, est sensible à la chaleur et n’est donc pas souhaitable comme additif aux rations ensuite mises en cubes. Cependant, le développeur de l’enzyme utilisée dans cette étude a affirmé que celle-ci avait une tolérance thermique améliorée, donc nous avons examiné l’efficacité de cette enzyme dans les rations en cubées. L’objectif global de cette étude était d’examiner l’interaction entre la phytase et le contenu en énergie alimentaire. Deuxièmement, les résultats que nous présentons sont utiles pour les producteurs qui utilisent des moulées en cubes. Procédures expérimentales – Quatre-cent-six porcs hébergés dans deux pouponnières de 28 enclos chaque ont participé à l’étude. Les porcs ont débuté l’essai de 42 jours cinq jours après le sevrage (9,30 ± 0,52 kg). Les porcs ont été mis en blocs par poids et assignés à l’une des 7 rations. Les traitements consistaient en un contrôle positif (CP) et 6 rations arrangés en un factoriel de 3 x 2 (3 niveaux d’énergie alimentaire x 2 niveaux de phytase). Les rations ont été administrées en deux phases; la phase 1 a été administrée pendant deux semaines et la phase 2 pendant quatre semaines. Les rations ont été formulée en utilisant de l’orge, du maïs, du tourteau de soya, de l’huile de canola, du plasma séché à aérosol, des cellules sanguines rouges, et les minéraux, vitamines et acides aminés nécessaires pour atteindre les exigences (excepté pour le P) pour les porcs de cet âge. L’énergie, le CA et le P des rations de traitement est décrit dans Tableau 1. Le poids des porcs et la prise alimentaire ont été évalués à chaque semaine. Des échantillons d’excréments ont été ramassés à la fin de chaque phase, ce qui permettra de déterminer la digestibilité des nutriments (qui sera présentée plus tard). Résultats et discussion – Supplémenter les rations avec 500 FTU de phytase/kg a augmenté le gain quotidien moyen (GQM) de 500 à 560 g/jour (P < 0,01), la prise alimentaire (PAQM) de 900 à 950 g/jour (P < 0,01) et l’efficacité alimentaire (ECA) de 0,58 à 0,62 (P < 0,01; Figure 1, Table 2). Augmenter le contenu énergique a amélioré linéairement le GQM et l’ECA (P < 0,02), et a amélioré quadruplement la PAQM (P < 0,03). L’interaction phytase - énergie n’a pas été significative sur aucune des variables de performance. Cela indique que l’amélioration observée avec la phytase n’est pas dépendante du contenu d’énergie alimentaire (Tableau 2). Le GMQ des porcs nourris avec la ration CP, laquelle a été formulée pour être adéquate en Ca et en P, et qui était plus riche en énergie que les rations traitement, était similaire au GMQ des porcs nourris avec une ration contenant 3,45 Mcal DE/kg peu importe si il y avait addition de phytase. Quand les porcs ont reçu les rations traitement avec moins d’énergie et sans phytase (traitements 4 et 6) le GMQ était plus bas que celui observé avec le CP (P < 0,05). Cependant, le GMQ des rations traitement bas en énergie était similaire à celui du CP quand ces rations étaient supplémentés avec de la phytase (P > 0,05; Figure 1). À partir de ces résultats, nous pouvons conclure que l’enzyme phytase, directement ou indirectement, a amélioré la disponibilité de l’énergie aux porcs nourris avec les rations à énergie basse dans cette expérience. Dans nos travaux effectués précédemment, la digestibilité apparente de l’énergie n’était pas affectée quand les porcelets étaient alimentés avec des rations supplémentés avec 500 FTU/kg de phytase. Ceci est en accord et en désaccord avec les plusieurs expériences rapportées par d’autres. Ce désaccord peut être dû à des différences parmi ces expériences au niveau des concentrations d’éléments nutritifs, des ingrédients et de la longueur de la période sous ces rations. Expliquer l’effet de l’enzyme phytase est apparemment plus complexe que de simplement rencontrer les besoins en P du porc. Conclusion – Une amélioration de la performance a été observée quand les porcelets ont été nourris avec des rations plus faible en énergie et supplémentées en phytase. Il est nécessaire d’effectuer plus de recherches pour élucider complètement le mécanisme responsable de cette observation. L’enzyme phytase a retenu son efficacité quand elle a été utilisée en moulée en cubes. Remerciements – Des subventions stratégiques proviennent de Sask Pork, Alberta Pork, Manitoba Pork Council et Saskatchewan Agriculture and Food Development Fund. Nous remercions Syngenta Animal Nutrition pour leur subvention spécifique à ce projet.

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